Dans ce manga, déjà, les personnages ont des gueules. Sugimoto est clairement repérable avec ses cicatrices au visage, et même tous les autres personnages ont des visages caractéristiques. Voir très caractéristiques. Je précise, car il faut avouer qu'il ne soit pas tellement rare (surtout dans les shojo) de trouver des personnages qui ont tous le même visage et que ce soit leurs habits et cheveux qui les distinguent. Je trouve. Ce n'est pas le cas ici. Rien que pour le clifhanger, le chara design est incroyable! Alors c'est la fin, donc je ne peux pas trop en dire, mais je peux dire ce que j'ai ressenti: je ne savais rien, mais j'avais follement envie de découvrir. J'ai également assez apprécié l'idée de la carte tatouée, mais je ne peut pas trop vous en dire non plus. Car, selon moi, cela gâcherais un peu trop... J'aimerais finir par le point le plus important. Le travail de recherche. Effectivement le travail de recherche sur le peuple aïnou est énorme, et il y a beaucoup d'informations très intéressantes, c'est assez impressionnant. Que ce soit au niveau de la chasse ou des mets qu'ils consomment. N.B.: Ce manga est classé Seinen, ce n'est pas pour rien (plus d'informations dans ma prochaine chronique, Golden Kamui 02) Note: coup de cœur AuteurZoé
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